Retour sur le 34ème Tour des Ecureuils
Une belle épreuve qui ne perd pas de son attrait !
Avec 170 coureurs au départ représentant 35 équipes, 136 à l’arrivée, cette édition 2024 restera dans les records.
Une épreuve sur 3 jours à ce niveau reste une des raretés au niveau national, d ’où l’attrait toujours présent des acteurs.
Gérard Boissavy à la tête du Vélo Club Bazas Bernos Beaulac, ses amis et partenaires s’aperçoivent chaque année du nombre grandissant de postulants pour leur course.
Organiser un tel événement n’est pas une sinécure, en amont, pendant et après reconnait « le patron », merci à tous ceux qui se sont impliqués, en particulier aux nouveaux bénévoles.
Cette édition 2024 terminée chaque jour par un sprint massif, ne reflète pas le cœur mis à l’ouvrage par les acteurs sur le vélo.
Peut être pas assez de relief, peut être pas assez de kilomètres, peut être que peut être … mais la vitesse impulsée par les équipes d’un niveau assez homogène n’a pas permis le développement d’échappées dignes de prendre la main sur l’épreuve.
La grosse chute du premier jour a coûté des sueurs froides pour la gestion de l’épreuve….
Gérard Boissavy tient à remercier le corps arbitral et son président Greg Maury, monsieur Christophe Miqueu le maire de Sauveterre de Guyenne, Vincent Dedieu présent sur l’épreuve pour la très bonne gestion de ce moment difficile.
Les vainqueurs Enzo Loubeau, Yohan Soubes, le premier un coureur plein d’avenir, un coureur confirmé pour le second, sans oublier Alexis Carpentier (grimpeur), Luc Miternique (points chauds), mais aussi la jeune équipe mixte de Lavaur Vélo Club-CA Castelsarrasin, ils ont réussi à maintenir le suspens jusqu’au final.
Yohan Soubes après plusieurs places d’honneur sur sa course fétiche s’est enfin imposé sous les hourras de ses supporters, bien aidé par les membres de son équipe comme il a tenu à le souligner. Sa vista de la course lors de l’arrivée à Gans lui a permis de faire un écart trés minime certes, mais qui lui a offert la victoire.
L’édition 204 est terminée, il faudrait déjà se remettre au travail pour l’an prochain reconnait Gérard Boissavy avec peut-être quelques modifications, mais il est trop tôt pour les évoquer.
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